François Koltès au Théâtre d'Aurillac

En partenariat avec le Théâtre d'Aurillac, dans le cadre du dispositif « De vives voix ». La Médiathèque vous propose une rencontre avec le frère de Bernard-Marie Koltès, François, au Théâtre d'Aurillac.
Publiée le vendredi 21 avril 2023

En partenariat avec le Théâtre d'Aurillac, dans le cadre du dispositif « De vives voix »

Du 2 au 5 mai, trois soirées sont proposées autour du texte de Bernard-Marie Koltès au Théâtre d'Aurillac. Dans la solitude des champs de coton est une pièce majeure du théâtre contemporain qui met en scène un dealer et un client : deux oiseaux de nuit, deux être blessés, deux solitudes… L’auteur nous donne à voir ce qui se déroule juste avant le conflit, « une bagarre verbale que l’on pourrait comparer à une bagarre de rue » dans un lieu isolé. Sur ce terrain neutre et désert, les deux personnages sont amenés à se révéler, à se mettre à nu. L’offre et la demande, le marchand et le client, la lumière et l’obscurité…

Mardi 2 et mercredi 3 mai à 20h30, Dans la solitude des champs de coton est interprété sous forme théâtrale par la compagnie Lézards qui bougent et mis en scène par Kristian Frédric. Vendredi 5 mai à 20h30, Dans la solitude des champs de coton est proposé sous forme chorégraphique par la compagnie Pietragalla et mis en scène par Marie-Claude Pietragalla & Julien Derouault.

Autour du spectacle

Dans le cadre de la présentation exceptionnelle de ces deux adaptations de la pièce Dans la solitude des champs de coton, de Bernard-Marie Koltès, une rencontre littéraire avec François Koltès est proposée par la Médiathèque du Bassin d'Aurillac le jeudi 4 mai à 20 h au Théâtre.

Frère de l’auteur dramatique, François Koltès est architecte, décorateur de cinéma, mais aussi réalisateur de films documentaires. Il publie son premier roman, Petit homme tu pleures, aux éditions Galaade dans le cadre de la rentrée littéraire 2008. Aujourd’hui, il consacre son temps à l’écriture et à différentes actions humanitaires et artistiques en Afrique et en Sicile.

Crédit illustration : Enki Bilal